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lundi 12 mars 2012

Yeah I think we broke the law. Always say we're gonna stop HO HOOOW HO


Bon ben tho. Ten pen tho.
CERTES je n'ai pas écrit depuis un an. Figurez vous que j'ai d'excellentes excuses pour ça.
SAUF que oh rage, oh désespoir, oh statistiques maudites, aujourd'hui vous étiez encore 28 a lire mes élucubrations et ce malgré l'abscence de mon adresse dans le bloglist de Margaux Motin.
ALORS que faut-il en conclure ?
Que malgré mon abscence, mon appendice nasal proéminent, mes goûts musicaux absurdes, ma passion incandescente pour les alcools bon marchés et imbuvables, mon penchant inavouable pour la blogosphère et mon clavier défectueux ( je copie colle encore les points d'interrogations et les virgules ), vous m'aimez ?

Que, malgré mes erreurs de syntaxe, mes fautes d'orthographes, mes private joke a moi même et mes libellés hasardeux, malgré mes promesses non tenues ( et vous verriez ce que ça donne dans la vie réelle ), mes penchants politiques incorrects et mes nuages de Baileys dans mon thé, vous appréciez de me lire ?

BONNE NOUVELLE. Avec mon grand retour dans la vie active, après plus d'un an de paradisiaque chômage ( agrémenté de formations diverses et de nouvelles passions dont la lettre anonyme, la poésie et le linge ), aprés diverses replongées dans mes addictions habituelles ( les Frères Scott, la Tequila champagne et Britney spears ), après un remaniement de mes dessous et une coupe de cheveux home made, THIS IS TIME.

Je reviens vers vous. Pour de vrais mes petits oignons ( prononcer "oagnon" ). Et si cette fois j'abandonne ce sera POUR TOUJOURS.

Et on va commencer tout de suite avec un petit moment BIDET PARTY. ( Te sent pas visé Sisi si tu me lis. )
Le coup du bidet je trouve ça drôle et je suis bien la seule. Nous allons bien sur parler anniversaires.
Le mien approchant à grand pas je vous transmettrais une liste de cadeaux opportuns.
Anniversaire que je ne fêterais pas, que cela soit bien clair.
La dernière fois que j'ai pris le risque j'ai mangé un bout de pizza dans ma cour, je me suis couchée a 11h et le lendemain matin un vieux monsieur m'a montré ses attributs.
Mais même si celui là était pénible, le précédent était pire et  mes amis quand à eux n'ont jamais eu l'air très satisfaits des leurs.
Et la faute à quoi  ?
A une plaie sans fond et sans recours : La pauvreté.
Celle qui vous force à consommer des produits bien vus, source d'économie au moment des courses et de brûlures du colon au moment des repas, celle qui vous force, conjointement à l'incontinence de certains chats/poulets, à faire 32kilos de lessive à la laverie automatique ( l'enfer sur terre, c'est cher payé pour faire tremper son linge dans de l'eau sale et froide ). Celle qui vous oblige, sans pitié, à croire qu'un demi poulet du marché est un festin de roi.

Parce que sans la pauvreté on aurait des baignoires de Champagne, une fontaine perpétuelle de punch, de la petite drogue et des kebabs gratuits le lendemain.



Je suis une poule.

6 commentaires:

  1. Anonyme22:22

    ENNNNNNNNNNNNNNNNFINNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN fais nous plaisir nous nous délaisse pas ok
    on t'aime, en tout cas moi je t'aime

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  2. Babouin :p
    Anonyme. Sans déconner. Je t'aime aussi. Mais genre vraiment.

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  3. BON RETOUR PARMI NOUS

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  4. Merde comment faire original arés tout ça, bon bein je t'aime voilà c'est dit

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  5. je sui une poul........... :'(

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ronchonnez, ronchonnez, ça n'a jamais mangé de pain.